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WEB Nano Saclay

Le Centre de Nanosciences et de Nanotechnologies (C2N), créé en juin 2016, est membre du LABEX NanoSaclay.


Le C2N, unité mixte de recherche CNRS - Université Paris-Sud/Université Paris-Saclay, a été créé le 1er juin 2016 du regroupement de deux laboratoires franciliens leaders dans leur domaine: le Laboratoire de photonique et de nanostructures (CNRS) et l'Institut d'électronique fondamentale (CNRS/Université Paris-Sud). En 2018, les équipes se sont installées dans un nouveau bâtiment au cœur du Campus Paris-Saclay.

Le C2N développe des recherches dans les domaines des matériaux, de la nanophotonique, de la nanoélectronique, des nano-bio-technologies et des microsystèmes, ainsi que dans ceux des nanotechnologies. Sur ces sujets, il traite les aspects fondamentaux et appliqués.

Le C2N héberge une Centrale de technologie dans une salle blanche de 2 900 m², dédiée aux procédés de micro-nanofabrication, à la croissance, l'épitaxie et la caractérisation des matériaux. Des espaces y sont également consacrés à la formation universitaire et permanente en micro-nanotechnologies, et 250m² sont réservés à héberger les activités de starts-ups ou PME. Ce sont en tout plus de 50 M€ investis dans des équipements de pointe pour les micro-nanotechnologies et 40 ingénieurs et techniciens permanents dédiés à ces plateformes.

Retrouvez toutes les informations sur le C2N sur son site WEB

La "Fondation de Coopération Scientifique (FCS)", porte le projet "Campus de Paris-Saclay" auquel participent vingt-deux institutions fondatrices dont deux universités, des grandes écoles et des organismes de recherche.

Au cœur des missions de la fondation se trouvent l’élaboration d’une stratégie commune en termes de recherche, innovation et formation, et la coordination des actions collectives qui en résulte. Ainsi, la FCS a porté les projets de LABEX associant les établissements du Campus Paris-Saclay, et est responsable des six premiers retenus.

La FCS a en charge la gestion de deux "Réseaux Thématiques de Recherche Avancée" (RTRA), créés en 2007 :

  • le Triangle de la Physique (sur la thématique "De l’atome à la matière condensée"),
  • DIGITEO (qui relève des sciences et technologies de l’information et de la communication).

La FCS héberge aussi la "Fondation Mathématique Jacques Hadamard" (FMJH), créée en mars 2011, par 5 des établissements fondateurs de la FCS (CNRS, ENS de Cachan, Ecole Polytechnique, IHES, Université Paris-Sud). Par une politique partagée, son rôle est de développer tout le spectre des mathématiques du campus, notamment à l’international et aux interfaces.

La FMJH et les deux RTRA sont aujourd'hui des départements de la FCS - Campus Paris-Saclay.

Le Groupe d’Etude de la Matière Condensée (GEMaC) est une unité mixte de recherche (UMR8635) sous cotutelle de l’Université de Versailles Saint Quentin en Yvelines (UVSQ) et du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) dont la thématique de recherche porte sur la Physique et la Physicochimie des Matériaux pour l’Electronique et le Traitement de l’Information.

Les activités du laboratoire reposent sur une expertise commune en physique et sciences des matériaux dans des domaines des semi-conducteurs à grand gap, des oxydes magnétiques fonctionnels, des matériaux moléculaires et de l’optique de systèmes nanométriques. Cette recherche effectuée au GEMaC se base sur des compétences en synthèse de matériaux sous forme de couches minces, nanoobjets et d’hétérostructures, sur des compétences en étude de leurs propriétés physiques et sur une activité en développement instrumental.

Plus particulièrement les axes de recherche suivants sont développés :
Diamant pour l’électronique
Semiconducteurs à grand gap nanostructurés et nouvelles fonctionnalités
Oxydes magnétiques fonctionnels pour l’électronique de spin et le traitement de l’information
Optique à l’échelle nanométrique: Résonance plasmon et nanoobjet individuel
Matériaux moléculaires: Traitement d’information et photocommutation à l’état solide
Fiabilité de composants électroniques

Les groupes "Optique à l'échelle nanométrique" et "Nanostructures Semiconductrices et Propriétés (NSP)" font partie du Labex NanoSaclay.

L'institut d'Alembert (IDA) est une entité fédérative pluridisciplinaire dont la vocation est de mener des activités de recherche fondamentales et appliquées dans les domaines de :

  • l'imagerie biophotonique,
  • la microfluidique
  • la conception des matériaux et nanomatériaux fonctionnels.

Les principaux débouchés se situent dans les domaines de l'imagerie en super-résolution et de nouvelles générations de biocapteurs et biopuces pour les études fondamentales en science de la vie et le diagnostic.

Positionné àl'interface entre physique, chimie et biologie, l'IDA ambitionne de contribuer à la compréhension de mécanismes cellulaires fondamentaux ainsi qu'à leurs dysfonctionnements par la mise en oeuvre d'effets photoniques tels que la fluorescence, l'optique non-linéaire et plus généralement la nanophotonique.

L'IDA rassemble, sur le site de l'Ecole Normale Supérieure de Cachan, quatre unités de recherche complémentaires englobant

LPQM, PPSM et LBPA sont des laboratoires engagés dans le LABEX NanoSaclay.

L’Institut de Biologie Intégrative de la Cellule (I2BC) UMR 9198 est une Unité Mixte de Recherche (CEA, CNRS, Université Paris Sud).

L’unité est constituée de près de 80 équipes de recherches, 15 plateformes technologiques, provenant de 8 unités de recherches (CGM, IBBMC, IGM, ISV, LEBS, VMS, SB2SM, SBiGeM). Elle est répartie sur 3 sites de recherche (Campus d’Orsay de l’UPSud, Campus du CNRS de Gif sur Yvette et Campus du CEA de Saclay) au sein de 14 bâtiments jusqu’au rassemblement programmé en 2018 sur le campus du CNRS de Gif.

Le groupe Nanobiophotonique du département Biochimie, Biophysique et Biologie Structurale fait partie du LabEx NanoSaclay.

ICMMO

L’Institut de Chimie Moléculaire et des Matériaux d’Orsay (ICMMO) regroupe 170 permanents et 110 doctorants ou stagiaires post-doctoraux dans le cadre d’une structure au cœur de la Faculté des Sciences d’Orsay de l’Université Paris-Sud. Cet Institut est étroitement lié au CNRS comme Unité Mixte de Recherche CNRS-Université. C’est une des plus importantes structures universitaires de recherche en Chimie en France.

L’Institut est formé de neuf Equipes Scientifiques indépendantes scientifiquement et financièrement et d’une Equipe de Services Communs composée de Services Administratifs et Généraux et d’une Plateforme Technique. Les Services Administratifs et Généraux couvrent toutes les activités nécessaires à la gestion de la recherche (Service du Personnel, Achats, Gestion Financière, Communication, Hygiène et Sécurité, Travaux…). Dans leur Equipe, les chercheurs recoivent également une aide pour la gestion.

La Plateforme Technique met à la disposition des chercheurs, des ingénieurs performant responsables des instruments les plus modernes, ainsi qu’un Service Informatique et un Atelier de Mécanique de Précision. Environ 70 IATOS et ITA sont au service de la recherche dans les Services Communs et les Laboratoires.

 


Site WEB de l'ICMMO.

 

ISMO

L’Institut des Sciences Moléculaires d’Orsay (ISMO - UMR 8214) est une unité de recherche créée en 2010, associée au CNRS et à l’Université Paris-Sud. Il regroupe 170 personnes (permanents et non-permanents) travaillant sur les fondements, les applications et les frontières de la physique moléculaire et de la chimie physique.

Les 8 équipes scientifiques de l’ISMO, regroupant 80 chercheurs ou enseignants-chercheurs permanents, 34 doctorants et 12 postdoctorants, possèdent de multiples expertises à l’interface de nombreux domaines : astrophysique, chimie atmosphérique, biologie, médecine…

Le socle commun réside dans deux approches : la photophysique (une grande partie du spectre de la lumière, des X à l’infra-rouge est utilisée pour sonder la matière) et les nanosciences.

Le Groupe Nanosciences Moléculaires fait partie du LabEx NanoSaclay. Il conçoit et construit des architectures à l’échelle atomique sur des surfaces susceptible de fonctionner comme des nano-machines (bistable moléculaire, mémoires à un atome, nano-sources de photons, nano-dispositifs de graphène et de silicène, etc.). L’objectif du Groupe Nanosciences Moléculaires est de développer de nouveaux concepts et de nouvelles méthodes pour le contrôle électronique et optique de ces dispositifs à l’échelle atomique.

L’Institut Galien Paris-Sud (UMR CNRS 8612) est une unité de recherche créée en 1998, associée au CNRS, à l’Université Paris-Sud et à la faculté de pharmacie.

Il a pour objectif principal de concevoir de nouveaux systèmes pharmaceutiques pour la délivrance contrôlée et l'administration des médicaments. Il développe particulièrement des nanomédicaments.

Cette unité est structurée autour de 7 équipes :

  • 3 équipes de Physico-Chimistes dirigées respectivement par Véronique ROSILIO, Florence AGNELY et Vincent FAIVRE
  • 3 équipes de Galénistes dirigées respectivement par Julien NICOLAS, Elias FATTAL et Gilles PONCHEL
  • 1 équipe d'analystes spécialisée dans les nanotechnologies dans les sciences séparatives dirigée par Myriam TAVERNA.

Deux équipes (dirigées par J. NICOLAS et E. FATTAL) font partie du labEx NanoSaclay.

Plusieurs laboratoires de l'Institut Rayonnement Matière (IRAMIS) du CEA sont membres du LABEX NanoSaclay.

"CEA-IRAMIS @ NanoChem", laboratoire composé de l'association de huit équipes du CEA (issues du Service de Physique et Chimie des Surfaces et Interfaces (SPCSI), Service de Physique de l'Etat Condensée (SPEC) et du Laboratoire Léon Brillouin (LLB) ) de l'IRAMIS.

C'est un laboratoire pluridisciplinaire traitant de plusieurs thématiques en physique et nanoscience, en particulier : propriétés magnétiques et optiques des matériaux nanostructurés, transport électronique dans des nanostructures, oxydes multifonctionnels, propriétés de structure électronique, résonance magnétique et interaction neutrons / matière. Ce laboratoire rassemble 28 chercheurs et ingénieurs de recherche et a pour objectif l'étude des propriétés physiques des structures à l'échelle nanométrique.

Les équipes NanoChem rassemblées au sein du NIMBE :

LAC

Le laboratoire Aimé Cotton, laboratoire propre du CNRS (UPR 3321) est associé à l’Université Paris Sud. Il est installée dans ses locaux actuels sur le Campus de l’Université depuis 1967. Plus récemment, l’unité est devenue laboratoire associé à l’École Normale Supérieure de Cachan.

Le Laboratoire Aimé Cotton développe ses activités dans le domaine de la physique atomique, moléculaire, optique, agrégats, depuis les gaz ultra-froids jusqu’aux plasmas chauds.

L'équipe "Nanospectroscopie : plasmons et molécules" fait partie du labex NanoSaclay.

LCFIO/IOGS

 

Le laboratoire Charles Fabry est une Unité Mixte de Recherche entre l'Institut d'Optique Graduate School et le CNRS et en partenariat avec l'Université Paris-Sud. La recherche du laboratoire couvre un large spectre de l'optique et de ses applications. Il est de ce fait un laboratoire d'interface entre deux instituts du CNRS.

 

Le laboratoire est constitué d'environ 180 personnes et divisé en six groupes de recherche:

Les trois premiers groupes font partie du labEx NanoSaclay.

EM2C

Le laboratoire d'Énergétique Moléculaire et Macroscopique, Combustion, (EM2C) est une unité propre (UPR288) du CNRS installée le campus de l'École Centrale Paris.

Le programme de recherche, à caractère fondamental, combine études physiques, numériques et expérimentales et est inspiré par les problèmes rencontrés dans les domaines des transferts thermiques, de l'énergétique, de la propulsion aéronautique et spatiale, des moteurs automobiles et des procédés.

Les thèmes de recherche du laboratoire sont regroupés en trois axes :

  • Axe Combustion
  • Axe Physique des transferts
  • Axe Plasmas hors équilibre

L'équipe Nano-Energie de l'axe Physique des transferts fait partie de NanoSaclay. Elle se concentre sur l'étude des transferts d'énergie aux nanoéchelles qui conduit à une  "Ingénierie Phonons-Electrons-Photons" permettant d'optimiser, grâce à une nanostructuration des matériaux, les propriétés thermiques pour différentes applications (thermoélectricité, matériaux d'interface, sources IR thermiques,...).

Le Laboratoire d'Optique et Biosciences (LOB) est une structure mixte (INSERM-CNRS-Ecole Polytechnique) qui rassemble en un seul site des compétences en biologie moléculaire et cellulaire, en optique et dynamique femtoseconde

Le groupe Nanoimagerie et dynamique cellulaire fait partie du labEx NanoSaclay.

Le LBPA  est une unité mixte de recherche, fruit de la collaboration entre le CNRS et l'ENS de Cachan. Il mène des études dans le domaine des interactions macromoléculaire, de la pharmacologie anti-tumorale et du développement des méthodes innovantes.

Le LBPA comprend 17 chercheurs CNRS, 8 enseignants-chercheurs, 5 ingénieurs et 7 techniciens.  Il est organisé autour de 6 équipes de recherche regroupant un ou plusieurs chercheurs statutaires réunis autour de projets scientifiques, sous la direction d'un chef d'équipe.

 

LCP

Le Laboratoire de Chimie Physique (LCP) est une Unité Mixte de Recherche interdisciplinaire (UMR 8000, CNRS - Université Paris-Sud) dépendant de l’Institut de Chimie, et des Instituts de Physique et Sciences Biologiques.

Il regroupe des enseignants-chercheurs et chercheurs CNRS, des ingénieurs, techniciens et administratifs et des doctorants, post-doctorants, ATER. Le laboratoire accueille aussi des stagiaires de Master, Licence et d’IUT. En moyenne et compte-tenu des non-permanents, 120 personnes travaillent au LCP.

Les chercheurs enseignants-chercheurs du LCP sont organisés en quatre groupes scientifiques :

Le groupe TEMic et l'équipe AFMIR du groupe BioPhysique font partie du LabEx NanoSaclay.

 

Le Laboratoire de photonique quantique et moléculaire (UMR 8537) est une unité mixte de recherche du CNRS dépendant de l'INSIS et de l'Ecole normale supérieure de Cachan. Il a été créé le 1er janvier 1998 par Joseph Zyss qui en fut le directeur jusqu'à la fin 2005. Le laboratoire a été initié dans le cadre d' une convention tripartite regroupant trois partenaires fondateurs: le CNRS, l'ENS Cachan et France Telecom R&D.
Le laboratoire appartient à la fédération de recherche Institut d'Alembert (IFR 121) créée le 1er janvier 2002.

Le LPQM se divise en trois équipes comprenant des chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs permanents, des post-doctorants, des doctorants et de nombreux stagiaires.:

- Composants et technologies pour la photonique

- Nano-photonique nonlinéaire et bio-photonique

- Nanophotonique et Nanothermique ultra rapides

 

LPMC - UMR 7643

Le Laboratoire de Physique de la Matière Condensée est une une mixte sous tutelle de l'Ecole Polytechnique et du CNRS. Chimistes et physiciens du laboratoire travaillent dans deux domaines principaux: nanosciences et physique de l'irrégularité.

Les thèmes abordés au laboratoire se font au sein de quatre groupes, dont les 3 premiers sont rattachés au Labex NanoSaclay:

  • Chimie du solide : synthèse, caractérisation et étude des propriétés physiques de matériaux divisés à forte surface spécifique.
  • Electrochimie et couches minces : Nanostructuration par voie électrochimique et caractérisation des structures obtenues.
  • Electrons photons surfaces : Physique des électrons polarisés de spin et microscopie en champ proche.
  • Irrégularité : étude expérimentale et théorique d'objets/matériaux de géométrie complexe ou irrégulière.
LPICM - UMR 7647

Le Laboratoire de Physique des Interfaces et des Couches Minces, (LPICM) a une double tutelle, l'Ecole Polytechnique et le CNRS. Le laboratoire fût crée en 1986 et il est devenu l'UMR numéro 7647 du CNRS en 1997. Aujourd'hui, le LPICM es associé principalement à l'institut d'ingénierie du CNRS, INSIS, tout en ayant des partenariats avec les instituts de Physique et Chimie du CNRS.

C'est un laboratoire multidisciplinaire où la recherche fondamentale dans les domaines de la Science de Matériaux, la Chimie, l'Electronique et l'Optique s'applique pour développer des applications pour la Génération et Stockage d'Energie Photovoltaïque, des Capteurs basés sur des objets nanométriques et des dispositifs d'Electronique Grande Surface utilisant des matériaux organiques et inorganiques.

Le LPICM est composé de quatre groupes de recherche:

- Matériaux nanostructurés pour le PV et l'optoélectronique

- Electronique Grandes Surfaces (ORGATECH)

- Nanotubes de Carbone et ses Applications

- Polarimétrie et Applications

LPS - UMR 8502

Le Laboratoire de Physique des Solides est un laboratoire de recherche fondamentale créé à la rentrée universitaire 1959 sur le campus d’Orsay. Il est depuis 1966 sous tutelles conjointes de l’Université Paris-Sud et du CNRS. Le personnel du LPS est aujourd’hui constitué de 147 permanents et environ 110 contractuels à durée déterminée.

La recherche au LPS est structurée selon trois axes :

- Nouveaux états électroniques de la matière

- Phénomènes physiques aux dimensions réduites

- Matière molle et interface physique-biologie

Les recherches menées au laboratoire reposent sur un fort couplage théorie/expérience, sur le développement et l’utilisation d’une instrumentation scientifique innovante et sur des collaborations étroites avec les Très Grandes Infrastructures de Recherche (Synchrotron, Neutrons, Nanotechnologie). Le LPS gère une plateforme de microscopie électronique associée aux réseaux ESTEEM (Européen) et METSA (Français).

LSI

Le Laboratoire des Solides Irradiés, est une unité mixte de recherche du CEA, du CNRS et de l'Ecole Polytechnique. Il compte environ 100 personnes (permanents et non permanents).

Le laboratoire mène une activité de recherche dans les domaines de la science des solides excités (par des électrons, des photons, des ions), de la création de défauts dans les matériaux, et des modifications de propriétés qu'ils induisent (vieillissement, obtention de propriétés nouvelles), des nanomatériaux et de la physique-chimie pour la biologie.

 

L'activité de recherche du laboratoire s'effectue au sein de 5 groupes :

Les trois premiers groupes font partie du LabEx NanoSaclay.

Le Laboratoire de génie électrique de Paris (LGEP-UMR 8507), qui a pris ce nom en 1968, est devenu, au 1er janvier 2015, le Laboratoire Génie électrique et électronique de Paris (GeePs). Il comprend un effectif d'une centaine de personnes titulaires environ.

 

Ses tutelles sont le C.N.R.S., SUPELEC, les universités  Paris Sud et  Pierre & Marie Curie.

Le laboratoire est structuré en 3 pôles de recherche regroupant l'ensemble des activités :

  • un pôle Matériaux ( PHEMADIC ) constitué globalement des équipes SCM et CE du du LGEP
  • un pôle Electromagnétisme ( PIEM ) constitué globalement des équipes ICHAMS et MDMI du LGEP, du DRE du L2S et du thème CND de l'équipe COCODI.
  • un pôle Systèmes ( ECo2 ) constitué globalement de l'équipe COCODI du LGEP (sauf CND), des groupes ESE et SSE (en partie) de E3S
MSSMat

Le laboratoire MSSMat est l'UMR 8579 sous tutelle de l'Ecole Centrale et du CNRS. Il mène ses activités dans deux champs disciplinaires, la mécanique numérique des solides et des structures, et la mécanique des matériaux.

Le laboratoire MSSMat conduit des recherches sur le comportement mécanique de structures à des échelles très différentes, allant du kilomètre (génie parasismique) au nanomètre (composites renforcés par nanotubes de carbone). Ces recherches se fondent sur une approche mixte expérience et calcul intensif et une forte pluridisciplinarité.

Il est organisé de façon matricielle, en deux équipes permanentes et trois axes de recherche sur des thèmes scientifiques d’actualité.

Le List, institut de CEA Tech, focalise ses recherches sur les systèmes numériques intelligents. Porteurs d’enjeux économiques et sociétaux majeurs, ses programmes de R&D sont centrés sur le manufacturing avancé, les systèmes embarqués, l’intelligence ambiante et la maîtrise des rayonnements ionisants pour la santé.

Le laboratoire Capteurs Diamant du CEA LIST fait partie du labEx NanoSaclay

Créée en 2008 et installée sur le site de Paris XI, la société Nanobactérie vise à développer de nouveaux traitements contre des tumeurs solides en utilisant des nanoparticules produites par des bactéries, appelées magnétosomes. Après administration des magnétosomes dans la tumeur, ils sont chauffés par un champ magnétique alternatif afin d’obtenir l’effet antitumoral (technique de l’hyperthermie magnétique). Les preuves de concept ont été obtenues sur des modèles de cancer du sein et de glioblastome chez la souris. Plusieurs brevets protègent ces procédés.

Plus d'informations

 

Département Optique Théorique et Appliquée  (DOTA)

 

Missions

Développement et maîtrise des chaînes optiques, depuis la source jusqu'au post-traitement, dans une gamme de longueurs d'onde allant de l'infrarouge à l'ultraviolet, au service de l'aéronautique, de l'espace et des systèmes militaires.

Le DOTA est le plus important centre européen de recherche en optronique de défense avec un effectif de 125 ingénieurs de recherche, 26 doctorants et post-doctorants, 15 techniciens.

Domaines de compétences

Synchrotron SOLEIL, inauguré le 18 Décembre 2006, rassemble l'ensemble de la communauté scientifique française et internationale. Il a fallu cinq ans pour porter cet équipement de très haute technologie, installée sur le plateau de Saclay, au cœur d'un environnement de très haut niveau scientifique.

A la fois laboratoire de recherche et outil scientifique de très haut niveau, SOLEIL a une double vocation : mettre à la disposition de ses utilisateurs des installations expérimentales les plus performantes au monde et développer une recherche scientifique interne de référence.

Le CNRS et le CEA ont créé, le 16 octobre 2001, la société civile Synchrotron SOLEIL, appelée à gérer la construction puis l’exploitation de SOLEIL. Ils en détiennent respectivement 72% et 28% des parts. A leurs côtés la région Ile de France et le Conseil général de l’Essonne ont financé 183 M€ d'investissement. La région Centre est également partenaire de SOLEIL.

Le personnel de SOLEIL sera constitué à terme de 357 salariés permanents, détachés, mis à disposition par les organismes (CEA, CNRS, Universités) ou recrutés directement par SOLEIL. Des thésards, doctorants et post-doctorants participeront également aux programmes de recherche, y compris dans les domaines des accélérateurs.

Des chercheurs des lignes ANTARES, ODE, HERMES, TEMPO, CASSIOPEE, SIRIUS,LUCIA, SIXS, SEXTANTS et DEIMOS sont rattachés au LabEx NanoSaclay.

Thales Research & Technology (TRT) est un réseau de laboratoires internationaux. Ce réseau a vocation à établir des relations privilégiées avec des partenaires académiques.

Les laboratoires de TRT sont implantés en France, en Grande-Bretagne, aux Pays-Bas, à Singapour et au Canada. Proches du milieu académique, ces laboratoires sont souvent situés sur les campus.

Des chercheurs de Thales sont notamment ompliqués dans le Flagship CONDOR financé par le LabEx NanoSaclay.

L’unité Maladies et Hormones du Système Nerveux, U 1195 INSERM, est dirigée par le Dr Michael Schumacher et est structurée en 4 équipes :
1.    Stéroïdes et système nerveux (Michael Schumacher, DR1 ; Rachida Guennoun, CR1)
2.    Cellules gliales, régénération et plasticité (Elisabeth Traiffort, DR2)
3.    Thérapies ciblées pour les neuropathies (Liliane Massade, DR2 ; David Adams, PUPH
4.    Génétique et neurodéveloppement (Judith Melki, PUPH ; Marcel Tawk, CR1)

L’équipe 1. Stéroïdes et système nerveux et l’équipe 3.Thérapies ciblées pour les neuropathies sont affiliées au LabEx NanoSaclay. 
Les 4 équipes de l’Unité travaillent ensemble pour répondre à des besoins médicaux non satisfaits dans le domaine des maladies et lésions du système nerveux. Les objectifs sont la protection des cellules nerveuses, l’amélioration de la neurorégénération, y compris la régénération des gaines de myéline, et la réhabilitation fonctionnelle.
Les outils et stratégies de recherche comprennent des modèles animaux de maladies et lésions du système nerveux, des cultures de cellules neurales, des cultures organotypiques de tranches de cerveau ou de moelle épinière, l’étude de mécanismes de signalisation cellulaire, la régulation de l’expression de gènes de maladies par de petits ARN interférents (siRNA), la vectorisation chimique par des nanoparticules squalène pour les siRNA et les petites molécules neuroprotectrices et la combinaison de la microchirurgie et de la thérapie par petites molécules (stéroïdes et ligands TSPO) pour favoriser la régénération des nerfs périphériques.

UMPhy

L'unité Mixte de Physique CNRS/Thales (UMPhy), céée en 1995, est un laboratoire mixte (UMR 137) entre le CNRS et la société Thales (Thomson-CSF autrefois). L'UMPhy est associée à l'Université Paris-Sud 11 depuis 2000. Ses activités s’articulent autour de trois axes : NanoSpintronique, Oxydes et hétérostructures fonctionnelles, Supraconducteurs et composants.

 

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